Plus grande que la plupart des autres liseuses du marché (175,7 x 128,3 x 11,7 mm), elle a aussi la meilleure définition, ce qui est appréciable lorsqu'on fatigue vite des yeux, et lorsqu'on aime les mangas (parce que oui, lire une bande-dessinée avec une résolution insuffisante, c'est pénible).
Par contre, le mode d'emploi est succinct... il m'a fallu 1/2h pour comprendre que le logiciel Kobo Desktop devait être installé sur mon ordinateur de bureau et non sur la liseuse, que je devais me créer un compte sur le site de Kobo, et enfin que ce logiciel ne permet pas d'importer dans la liseuse les ePubs déjà en ma possession... (ce dernier point m'a pris 45mn d'exploration enragée du logiciel, du manuel d'utilisation en ligne et de trifouillages divers et variés).
Bref, j'ai installé Calibre aujourd'hui en supplément sur mon ordi, et aucun problème pour importer le recueil du Collectif Hydrae Les mots du Petit Peuple et les n° 11, 12 et 13 du fanzine Univers d'OutreMonde.
Reste encore à coudre à ma belle liseuse toute neuve une toute aussi belle pochette : un grand merci à Roanne pour le lien du tuto de Ptitsy Moloko qu'elle avait indiqué dans un post de son blog, et qui va bien me servir... ! (D'autant que ma frangine, qui s'est achetée la même en février, compte sur moi pour lui en coudre une...)
J'attends le mois prochain pour commencer à acheter tous les romans et toutes les nouvelles que j'ai repérées en numériques, à savoir en priorité :
- «Une boîte à musique» (n°28 d'AOC, mars 2013) et «Cuttle Feesh» (anthologie Vampire malgré lui, éd. du Petit Caveau) d'Alice B. Griffin ;
- La couleur de l'aube d'Agnès Marot (éd. Armada) ;
- L'Aube de la guerrière (éd. du Chat Noir, 2012) et Cinq pas sous terre (éd. du Petit Caveau, 2013) de Vanessa Terral ;
- L'Après-dieux (éd. Griffe d'Encre, 2013) et Le Goût des cendres (éd. du Riez, 2014) de Maëlig Duval ;
- Au Sortir de l'Ombre (éd. du Riez) de Lise Syven.
La LàL qui va s'ajouter à la PàL infernale... mais que voulez-vous, la lecture est une addiction sous-estimée.